Alexis Peskine
BIO EXPRESS
Né à Paris en 1979 dans une famille d’origine russe et afro-brésilienne.
Il termine ses études en 2005 avec un double cursus, en France et aux Etats-Unis.
Il est sorti major de la prestigieuse université Hovard section peinture et photographie, puis s’est spécialisé en numérique à Baltimore au Maryland Institute College of art.
Dès 2006 des expositions personnelles lui sont consacrées, à Washington, New York, Hartford, Minneapolis, Detroit, San Diego, la Jamaïque, Luxembourg et Paris. Il travaille sur des thèmes de société et des thèmes politiques.
Il est sélectionné pour les grands rendez-vous internationaux que sont la Biennale de Dakar et celle de Casablanca à deux reprises, la Biennale d’Issy les Moulineaux, le Festival Mondial des Arts Nègres, Arles, le National Black Fine Art Show, la Prizm Art Fair, Addis Foto Fest, et bien d’autres au travers des Etats-Unis.
Alexis est constamment invité à prendre part à des résidences :
Edna Manley College, à Kingston, à Addis Foto Fest, à l’Université de San Diego, à Ifitry au Maroc, au Sénégal, à Bobigny au lycée Alfred Costes spécialisé en communication visuelle.
Il reçoit des prix aussi prestigieux que le Hennessy Black Masters Art Competition, le Walters Traveling Fellowship Award, le Provincetown Award, le Verizon HBCU Student Art Competition.
Dès ses premières année d’études il remporte à la Howard university le 1er prix en gravure, le 2ème prix en dessin et photographie
Il est récipiendaire de la bourse Fullbright.
Plus d’une trentaine d’articles sont publiés sur Alexis Peskine, dans des revues et journaux essentiellement américains et français. Alexis Peskine participe à de multiples rencontres et conférences que ce soit sur la politique, l’engagement, l’art, l’identité, l’afrofuturisme et sur sa technique picturale qu’il appelle l’acupeinture.
Ses portraits cloués sur du bois au sens propre du terme, est un hommage aux Africains qui se voient contraints d’émigrer par la mer vers l’Europe. Ce n’est pas avec un pinceau qu’il dessine les visages mais ce sont les clous agencés minutieusement avec des têtes de différentes grosseurs et enfoncés à des profondeurs différentes qui créent du relief et donne à l’œuvre une troisième dimension. Ses clous expriment à la fois la souffrance et la résistance.
Son travail d’artiste est multiple et s’y ajoute son activité en tant que art directeur de vidéo et de photographie.
​​